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1335 | Les vents d'est, à l'égard de l'Égypte, venaient d'un pays fort aride et fort chaud, et devaient être secs et brûlants. |
1336 | Comme les soixante-dix langues vont jouer un grand rôle dans l'histoire de Joseph, il est nécessaire d'en dire ici un mot. D'après la tradition de la Synagogue, lorsque Dieu voulut confondre la langue des hommes réunis pour construire la tour de Babel, il descendit sur la ville, accompagné des soixante-dix anges qui se tiennent constamment en la présence de la gloire divine, et dont chacun protège une des soixante-dix nations de ce monde. Chacun des anges mit sur les lèvres de sa nation une langue différente; de sorte que les hommes de nations diverses ne s'entendaient plus entre eux. Telle est aussi l'explication que donnent des versets 7 et 8 du 11e chapitre de la Genèse, la paraphrase d'Ad. de Jonathan, les chapitres de R. Éliéser et plusieurs commentaires rabbiniques. On lit dans la Chronique de David Gaus, 2e partie, année 996 du deuxième millénaire: «Dans les jours de la reine Sémiramis, en l'an 996, eut lieu la construction de la tour et la confusion des langues. Et le nombre des langues, d'après l'enseignement de nos docteurs, que leur mémoire soit en bénédiction! égalait celui des nations nommées dans la section Noé (Genèse 10); savoir, quatorze issues de Japheth; trente, de Cham; vingt-six, de Sem: en tout soixante-dix. Mais les écrivains nazaréens (chrétiens) en font plonger le nombre à soixante-douze.» וסופרי ×”× ×•×¦×¨×™× ×”×¢×œ×• ×ž×¡×¤×¨× ×œ×©×‘×¢×™× ×•×©×ª×™× R. Isaac Abarbanel, dans son commentaire sur le chapitre 10 de la Genèse, transcrit un long passage de Rabenu Nissim, qui explique plus en détail la division des nations primitives selon le nombre des soixante-dix langues fréquemment mentionnées, dit-il, dans renseignement de nos docteurs, que leur mémoire soit en bénédiction. Voyez aussi: l'Exposition de la Genèse par le rabbin Bekhaï, fol. 20, colonne 2. L'inscription du monument ordonné par Moïse dans le Deutéronome 27:8, devait être dans les soixante-dix langues. Talmud, traité Sota, fol. 32 recto et fol. 36 recto. Paraphrase chaldéenne de Jonathan, Yarkhi. Une des qualités exigées pour être élevé à la dignité de membre du grand Sanhédrin, était de connaître les soixante-dix langues «Car,» dit le Talmud, traité Sanhédrin, fol. 17 recto, «le Sanhédrin ne doit pas avoir besoin d'interprètes.» שומעת מּפי התורגמין (sic) ×©×œ× ×ª×”×™ ×× ×”×“×¨×™ Mardochée découvrit le complot formé contre la vie d'Assuérus, parce que les conspirateurs, qui étaient de Tarse, parlaient de leur projet en langue de Tarse, et pensaient n'être compris de personne. ×˜×¨×¡×™×™× ×”×•×• והיו ×ž×¡×¤×¨×™× ×‘×œ×©×•×Ÿ טורסי Mais Mardochée était membre du Sanhédrin, et par conséquent entendait toute leur conversation. Voilà ce que nous dit le Talmud, traité de Meghilla, fol. 13 verso. Il est bien vrai que les écrivains chrétiens comptent soixante-douze langues. Nous pensons que cette différence provient de ce qu'ils suivaient la version des Septante. Or. celle-ci, dans le chapitre 10 de la Genèse, versets 22 et 24, donne deux générations de plus que le texte hébreu: savoir, un Caïnan fils de Sem et un Caïnan fils d'Arphaxad. Clément d'Alexandrie (Strom. lib. 1, p. 318 de l'édit. de Paris 1629), Euphorus et plusieurs autres historiens «disent que les nations et les langues sont au nombre de soixante-quinze. Mais de fait il parait qu'il n'y a que soixante-douze langues générales, ainsi que l'enseignent nos écritures.» Φαίνονται δΠείναι καί κατά τόν άληθή λόγον αί γενικαί διάλεκτοι δÏο καί Îδδομήκοντα, ÏŽÏ‚ αί ήμÎτεÏαι παÏαδιδόασι γÏαφαί. Avant d'aller plus loin nous consignons ici une observation qui ne sera pas inutile pour plusieurs. Nous nommons simplement Clément le célèbre maître d'Origène, parce que Rome, la boussole infaillible des Chrétiens (Note de GoDieu.com: des Chrétiens catoliques romains), ne le comprend pas dans le catalogue des saints. Saint Épiphane (Adv. hÅ“res., lib. I, n. 5), après avoir dit que la folle entreprise des constructeurs de la tour de Babel déplut à Dieu, ajoute: «Car il divisa leurs langues, en partageant (multipliant) la seule qu'ils avaient en soixante-douze; selon le nombre des hommes (chefs des nations) qu'il y avait alors.» ΔιεσκÎδασε Î³Î¬Ï Î±Ïτών τάς γλώσσας, καί άπό μιάς είς ÎδδομηκονταδÏο διÎνειμε, κατά τών τότε άνδÏών άÏιθμόν εÏÏεθÎντα. Voyez aussi: hérésie 39, n. 7. Pour ne pas trop allonger cette note nous ne citerons également que deux Pères latins anciens. Saint Augustin (De Civ. Dei, lib. XVI, cap. 6): «Ex illis igitur tribus hominibus, Noe filiis, septuaginta tres, vel potius, ut ratio declaratura est, septuaginta duæ gentes, totidemque linguæ per terras esse cÅ“perunt, quæ crescendo et insulas impleverunt.» Voyez aussi: les chapitres 3, 10 et 11 du même livre. Saint Jérôme (Comment. in Matthieu 26:53): «Septuaginta duo millia angelorum, in quot gentes hominum lingua divisa est.» C'est-à -dire autant de fois mille anges que la langue des hommes les a divisés en nations. La note marginale des Bénédictins porte: lingÅ“ divisÅ“ in 72. |
1337 | Voyez plus haut: colonne 1201. |
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