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Avec les passages d'Éphésiens 1:4,11 comme notre guide, concentrons-nous maintenant sur ce qui est clair et certain concernant cette doctrine du choix de Dieu dans la grâce du salut. Explorons les gloires de l'élection, que nous pourrions en dériver les pleins avantages de l'intention de Dieu. Pendant que nous commençons à déballer ce sujet glorieux, nous devrions le faire ainsi dans le contexte des versets 3 et 4 qui pourrait être réduit à une seule phrase. Cette phrase commence par Paul célébrant des bénédictions spirituelles: «Béni soit L'ESPRIT DES VIVANTS et Père, L'ADMIRABLE de nous tous, Jésus-Christ, qui nous a bénis de toutes sortes de bénédictions spirituelles dans les lieux célestes, en le Messie promit. Selon qu'il nous a élus (choisis) au salut en lui avant la fondation du monde, afin que nous soyons saints et sans reproches devant lui dans le renoncement» (Bible de Machaira 2016). Paul tourne alors un choix vertigineux de bénédictions, commençant par le fait que «Il nous a élus», c'est-à -dire «choisis». L'effet de cette bénédiction initiale plus tard fait écho plusieurs fois dans le contexte de cette phrase — dans des mots tels que «prédestiné», «adoption», «rédemption» et «rémission» — pendant que Paul explore les merveilles de notre salut immérité et donc inconditionnel. Aucune condition n'est exigée de ceux qui sont choisis. Prenons Lazare comme exemple (Jean 11:1-44), il était mort depuis quatre jours, son corps était dans un état de décomposition, il n'avait donc aucune capacité en lui de croire ou d'obéir. Un mort n'a ni foi ni obéissance et ne peut revenir à la vie ou renaître par lui-même. Seul l'appel irrésistible de la Parole vivante détient cette puissance. Pourquoi Lazare est-il revenu à la vie et non un autre, car il s'y trouvait plusieurs morts dans ce lieu où les juifs embaumaient les trépassés? La raison est que Lazare avait été choisi en Christ depuis avant la fondation du monde pour revenir à la vie, afin que sa résurrection nous serve d'exemple au niveau de la nouvelle naissance. Les autres morts ne sont pas revenus à la vie car ils n'ont pas été choisis, le Seigneur les a laissé subir les ravages de la corruption. Tel est le principe de la double prédestination: l'élection et la réprobation. Dieu était-il injuste, devait-il des excuses aux autres morts pour avoir ressusciter seulement Lazare? Évidemment que non. Son choix d'en sauver certains et de laisser le reste dans la perdition serait-il illégitime et injurieux envers ceux qui sont rejetés de la grâce? Évidemment que non, car tous sont coupables, aucun dans la race humaine ne mérite le salut. Qu'Il accorde le salut à certains est selon le bon plaisir de sa volonté et à la gloire de son NOM.
Nous apprenons ainsi des Saintes Écritures que le choix divin précède la réaction humaine, car l'homme est spirituellement mort et soumis à la corruption de la chair et du péché. À la lumière de notre dépravation dominante, et la méchante hostilité pécheresses contre Dieu, Charles Spurgeon mentionne ceci:
«Je crois en la doctrine de l'élection, parce que je suis tout à fait certain que, si Dieu ne m'avait pas choisi, je ne l'aurais jamais choisi; et je suis sûr qu'il m'a choisi avant que je ne naisse, sinon, il ne m'aurais jamais choisi après cela; et il doit m'avoir élu pour des raisons qui me sont inconnues, parce que je n'ai jamais pu trouvé une seule raison en moi pourquoi il devrait m'avoir considéré avec un amour spécial».
Spurgeon avait été donné le comprendre le sens de l'élection souveraine, il réalisa pleinement qu'il n'y a rien en l'homme qui puisse plaire à Dieu, et que tout dans la grâce du salut provient de Dieu.
Voici ce qu'on lit dans l'épître à Tite au chapitre deux et à partir du verset 11: «Car la grâce de L'ESPRIT DES VIVANTS qui apporte le salut, a été manifestée à tous genres d'hommes; Et elle nous enseigne à renoncer à l'indifférence et aux convoitises mondaines, et à vivre, en ce présent siècle, dans la discrétion, dans la droiture, et dans le dévouement; en attendant la bienheureuse espérance, et la manifestation de la gloire du grand ESPRIT DES VIVANTS et Sauveur de nous tous, JÉSUS-CHRIST, qui s'est donné lui-même pour nous, afin de nous racheter de toute iniquité et de nous purifier, et de se former un peuple particulier, zélé pour les réalisations gracieuses de la foi.» (Tite 2:11-14; Bible de Machaira 2016). Certains éléments méritent d'être mentionné ici.
— Premièrement le mot «homme» ou «anthropos» dans le Grec, ne signifie pas toute la race humaine, il signifie proprement: «tous les types, genres, ou sortes d'hommes», et s'applique à une catégorie ou une classification dans une collectivité qui se fonde sur les distinctions individuelles (pauvre, riche; vieux, jeune; mâle et femelle, etc.). Un passage clé pour ceci est 1 Timothée 2:4 où le mot «homme» désigne exactement «toutes sortes d'hommes» sans impliquer toute la race humaine: «Car cela est bon et agréable aux yeux de L'ESPRIT DES VIVANTS notre Sauveur, Qui désire que toutes sortes d'hommes soient sauvés, en parvenant à la connaissance de la vérité.» (1 Timothée 2:3-4). La grâce du salut est manifesté aux élus seulement, les réprouvés n'en veulent pas ni sont-ils capables de la recevoir, ils récolteront le salaire qui leur est dû et cela est juste devant Dieu qui l'a déterminé ainsi. Il ne s'agit pas de «quiconque croira», comme on voit dans les traductions frelatées de la Bible, mais de ceux qui ont été donné de croire (Actes 13:48). Les Écritures n'enseignent aucunement un salut universel ou national, ni un salut qui dépend d'une décision personnelle de l'homme, mais que la grâce s'applique envers «tous genres d'hommes» que Dieu a prédestiné selon son bon plaisir dans son plan d'élection, donnant ainsi l'évidence que le salut est selon la souveraineté de Dieu et non selon le choix individuel de l'homme.
— Deuxièmement, vivre dans «la discrétion, la droiture, et le dévouement» ne sont pas les caractéristiques du chrétien mais celles de Christ Lui-même dans lequel le peuple élu doit marcher par la foi en son Substitut qui fait sa demeure en eux par l'Esprit de sa Sainte Présence. Si ces caractéristiques seraient de l'homme il s'en vanterait pour en tirer quelque gloire afin de valoriser les efforts de sa nature humaine déchue, tout comme nous voyons dans les sectes évangéliques modernes. Les gens ont tendance à oublier que même si une personne est vraiment chrétienne et a reçue une nouvelle nature, celle de Christ en eux, ils portent encore leur vieille nature hostile et pécheresse et cela jusqu'à la fin de leur vie en ce monde. Vrai que nous devons résister, mais nous perdons plusieurs combats, toutefois il n'y a plus de condamnation pour ceux qui marchent selon l'Esprit (Romains 8:1), la victoire nous est assurée car Christ en nous a vaincu le monde et nous sommes vainqueur par la foi en Lui qui a tout accomplit en notre faveur. Telle est l'assurance des élus.
— Troisièmement, que Christ se forme «un peuple particulier» est l'évidence irréfutable qu'il ne s'agit pas du salut de tous les hommes, mais seulement de ceux qui ont été choisis d'avance en Christ de toute éternité. Le mot «particulier» signifie «exclusif», c'est-à -dire que Dieu a choisi un peuple spécifique et unique pour recevoir la grâce du salut et qu'il exclu ceux qui n'ont pas été choisi, ceux qui ont été désignés à être rejetés de la grâce d'après la volonté souveraine du Créateur Tout-Puissant. L'exclusion ou réprobation ne dépend pas de l'homme rebelle qui persiste à vivre dans le péché pour la perdition de son âme, mais de Dieu qui l'a déterminé ainsi de toute éternité (Romains 9:20-23).
— Quatrièmement, les traductions classiques, traditionnelles, de la Bible portent l'expression «bonnes œuvres» dans ces passages. Or le sujet de faire des bonnes œuvres est très mal compris par la grande majorité des gens qui se disent chrétiens. Il ne s'agit pas d'aider les gens en besoins, de s'occuper des pauvres et des malades, de contribuer à des sociétés philanthropiques d'entre-aide, d'aider une vielle dame à traverser la rue, de nourrir le petit nègre dans le fond de l'Afrique, de protester lorsqu'un nègre criminel se fait flamber par la police, ou de tolérer les musulmans ennemis du christianisme et de notre société civilisée. Aucun besoin d'être chrétien pour ces choses, même que les non-chrétiens font mieux dans ces domaines que ceux qui sont chrétiens. Or cela n'est pas les bonnes-œuvres dans le contexte de la grâce de Dieu. Il s'agit plutôt des œuvres de la foi en Christ (Jean 6:28-29), c'est-à -dire «des réalisation gracieuse de la foi», de marcher dans l'assurance du sacrifice de la croix, d'être résigné à sa volonté, de faire confiance à Christ pour toutes choses dans notre vie car Il est notre Maître. Il est notre Roi, notre vie lui appartient et Il s'occupe des siens. Il est fidèle même quand nous sommes infidèles. Tels sont les bienfaits de la grâce souveraine, et encore plus.
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