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Chapitre 1
Les difficultés d'un tel sujet sont nombreuses et variées. Pour décrire les évènements qui ce sont déroulés au début des temps il faut se baser avant toute chose sur le témoignage infaillible des Saintes-Écritures dans les originaux Hébreu et Grec autant que dans leurs traductions. Et aussi sur les recherches approfondies de différentes sciences compétentes qui en donnent des explications afin de se placer correctement dans le contexte des éléments que nous présentons. En surcroît il faut mettre notre confiance dans la direction la Sainte Présence qui nous habite afin d'en donner un rendement convenable à la gloire de l'Esprit des vivants qui a créé toute chose et qui nous instruit dans toutes ses voies.
Au début il y avait un seul océan d'eau douce nommé Panthalassa qui entourait un super continent gigantesque du nom de Pangée (rassemblement des terres), demeure de la race adamique initiale que l'Esprit des vivants avait créé à son image, à sa ressemblance. Il nous est dit que cette race adamique initiale vécu 130 ans dans un état de perfection avant sa déchéance charnelle de reproduction à sa propre image qui devint sa renommée (Seth), et engendra la mortalité (Énosh) dans cette race de constructeurs puissants (Genèse 5:3,6). Il s'agit ici de toutes les épreuves et conflits dans l'intervalle entre la rébellion originale en Éden et la destruction de la race adamique initiale lors du déluge de Noé. L'Esprit des vivants s'était retiré du cœur des hommes et sa colère s'abattit sur eux (Genèse 6:3,7). Durant toute cette période de création, rébellion, expérimentation, et destruction, la terre était recouverte de grandes forêts tropicales luxuriantes. En effet la hausse du taux de dioxygènes libérées dans l'air par les forêts (30% d'oxygène de plus que de nos jours) a favorisé la croissance de nombreuses espèces dont les amphibiens géant ou dinosaures. En premier nous avons "les insectes géants", des arthropodes comme Mesothelae, une araignée de 1 m, Meganeura, une libellule de 1 m ou encore l'Arthopleura, ancêtre des milles-pattes, mesurant 2 m de long minimum et des guêpes de 15 cm. Nous avons ensuite des reptiles tels que le Petrolacosaurus et des amphibiens comme l'Eryop, et plusieurs autres créatures étranges et merveilleuses. Le monde que Dieu conçut et créa pour l'homme, à l'origine, était largement différent du monde que nous connaissons aujourd'hui. La beauté extraordinaire qui demeure aujourd'hui, après 6000 ans de ravages faits par le péché sur la terre, ne reflète qu'un soupçon de la beauté dont Dieu a doté, au départ. En d'autres mots, le monde de cette époque était un vrai paradis jusqu'à ce qu'il soit soumis à la corruption de l'homme (Romains 8:19-23).
La plupart des créationnistes croient que la Terre d'avant le Déluge était très différente de la Terre d'aujourd'hui. La plupart des créationnistes reconnaissent les preuves plutôt solides qui ont été apportées quant à la prétendue dérive des continents. Il est très probable qu'avant le Déluge, les plus grosses masses terrestres aient été unies en un grand continent. Certaines personnes telles que le Dr. Walter Brown, avancent que l'activité géologique, renforcée par le Déluge, a brisé cette masse terrestre et a commencé à faire bouger les continents jusqu'à leur emplacement actuel. D'autres scientistes créationnistes comme Barry Setterfield et Henry Morris, pensent qu'il y a eu un cataclysme post-diluvien, qui a provoqué la division du super-continent. Enfin, certains pensent que cette séparation est mentionnée dans Genèse 10:25, disant que la Terre fut divisée au temps de Péleg, ce qui fut réellement le cas comme nous voyons dans une traduction des Saintes-Écritures d'après les originaux: «Et à Héber il naquit deux fils: le nom de l'un est Péleg*, car en son temps le Continent fut fragmenté...» (Genèse 10:25; Bible de Machaira 2016) Dans l'Hébreu, le mot «palag», généralement traduit par «divisé ou partagé» signifie «fendre en pièces avec une grande violence», c'est-à -dire «fragmenter» tout comme si on frapperait un vase d'argile avec un marteau. C'est aussi le sens qu'Alexandre Hislop lui donne dans son œuvre remarquable «Les Deux Babylones». Un chrétien nommé Antonio Snider, expert en géologie, était le premier à mettre ensemble la notion que tous les continents de nos temps modernes formaient au début un seul continent gigantesque. Puis, par la suite, le météorologue et astronome allemand de l'université de Marburg, Alfred Wegener, en développa le concept davantage et donna le nom de Pangée à ce continent dans une publication de 1912. Néanmoins l'idée n'était pas nouvelle, leurs recherchent ne firent que confirmer ce que disent les Saintes-Écritures dans une traduction fidèle aux originaux: «Puis L'ESPRIT DES VIVANTS dit: Que les eaux qui sont au-dessous des cieux se rassemblent en un seul lieu, et que le Continent paraisse; et cela fut ainsi. Et L'ESPRIT DES VIVANTS nomma le Continent, Terre (fixe, stable); et il nomma l'amas des eaux, Océan; et L'ESPRIT DES VIVANTS vit que cela était gracieux.» (Genèse 1:9-10; Bible de Machaira 2016).
De plus, Barry Setterfield met en avant l'existence de preuves selon lesquelles l'inclinaison de l'axe de la Terre a vite changé peu après le Déluge. George Dodwell, un astronome d'un précédent gouvernement Sud-Australien, a, lui, avancé la théorie selon laquelle un astéroïde aurait frappé la Terre au moment du Déluge, ou peu de temps après, et aurait changé l'inclinaison de l'axe de la Terre. La Terre continua a vaciller, de plus en plus faiblement, pour se stabiliser dans les années 1850. Ce vacillement expliquerait pourquoi les mesures d'Eudoxos, en 350 av. J.-C., situent le pôle Nord céleste là où les astronomes modernes croyaient qu'il aurait dû être en 1900 av. J.-C.. Cela expliquerait aussi pourquoi Stonehenge ne s'aligne pas avec le solstice de la mi-été. Toutefois, si les évaluations d'Eudoxos étaient correctes, Stonehenge se serait aligné avec le lever du soleil au matin du solstice d'été! Dodwell continua à soutenir sa théorie avec des évaluations de la position du soleil enregistrées au Temple d'Amen-Ra, à Karnac. Des auteurs plus récents ont aussi mis les calculs de Dodwell en corrélation avec la position du soleil, enregistrée aux temples de Tia Huanaco, en Amérique du Sud.
Si les chiffres de Dodwell sont en essence corrects, l'inclinaison de l'axe de la Terre aurait été moins importante qu'aujourd'hui. L'écart de température aurait alors été beaucoup moins important entre les pôles et l'équateur, par rapport à ce que nous connaissons aujourd'hui. La géologie soutient fermement la thèse de ce cas. Que l'éclatement du super-continent ait été provoqué par le Déluge, par le choc d'un ou de plusieurs astéroïdes, ou quelque chose d'autre, il demeure pourtant une question plus importante. Les plaques continentales de la Terre pouvaient-elles se déplacer aussi rapidement pour couvrir la distance quelles ont parcouru en seulement 4500 ans? Des preuves apparemment suffisantes appuient ce fait, mais pourtant leur théorie que les continents se déplacent que 1 pouce par année n'a absolument aucun sens. À partir de l'an 500 ap. J.-C., jusqu'à leur invasion par les Incas en 1476, une civilisation importante et puissante vivait au Nord du Pérou actuel. Entre 500 et 1200 ap. J.-C., ils construisirent le plus grand réseau de canaux d'irrigation jamais construit en Amérique du Sud. Ce système de canaux fut construit par le biais d'un génie mécanique impressionnant au vu des standards actuels. Les vestiges de ce système de canaux peuvent encore être vus aujourd'hui. En revanche, des transformations géologiques du terrain font que ces canaux ne sont plus en état de fonctionner. Les géologues qui ont étudié ce système de canaux ont découvert que certains fragments du continent sud-américain se sont déplacés si vite que les Indiens devaient redéfinir en permanence leur système de canaux pour y garder l'eau. Les plaques sur lesquelles se trouvent l'Amérique du Sud, bien au-dessous de la couche terrestre, ont provoqué un changement si rapide de la pente du sol, que les Indiens n'étaient pas en mesure de suivre les modifications géologiques. Manifestement, l'activité des forces qui ont formé la Terre d'aujourd'hui n'a pas nécessité des millions d'années comme on veut nous le faire croire.
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