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La tolérance — selon une Déclaration de l'Unesco de 1995 — est:
«le respect, l'acceptation et l'appréciation de la richesse et de la diversité des cultures de notre monde, de nos modes d'expression et de nos manières d'exprimer notre qualité d'êtres humains. Elle est encouragée par la connaissance, l'ouverture d'esprit, la communication et la liberté de pensée, de conscience et de croyance. [...] La pratique de la tolérance signifie que chacun a «le libre choix» de ses convictions et accepte que l'autre jouisse de la même liberté. Elle signifie l'acceptation du fait que les êtres humains, qui se caractérisent naturellement par la diversité de leur aspect physique, de leur situation, de leur mode d'expression, de leurs comportements et de leurs valeurs, ont le droit de vivre en paix et d'être tels qu'ils sont. Elle signifie également que nul ne doit imposer ses opinions à autrui.».
Soulignons que cette définition subtile et raffinée est une attaque contre la Souveraineté de Dieu, et une agression contre la vérité révélée dans le Saintes-Écritures. Elle est un concept purement humain, mondain, et charnel conçu pour préserver la dignité de l'homme dans sa déclaration révolutionnaire d'indépendance contre Dieu et sa Vérité. Au lieu d'enseigner la prévoyance ou sagesse de Dieu, cette définition enseigne la sagesse de l'homme dans sa prétendue expertise sociale de ses raisonnements séditieux et subversifs, car la vérité est un scandale et une folie pour eux (1 Corinthiens 1:19-24). Ils érigent ainsi l'idole d'une tolérance factice qui provient des artifices de l'intelligence et qui ne détient aucune vraisemblance, sauf en apparence.
Aussi, dans cet aspect d'une fausse liberté, on a élaboré la notion hypothétique que notre propre liberté ne peut interférer avec la liberté individuelle des autres — une ancienne maxime ne dit-elle pas que la liberté de chacun s'arrête là où commence celle des autres. On comprend facilement pourquoi la notion de tolérance s'articule étroitement avec celle d'une supposée liberté de l'homme qui n'est qu'une fabulation de la nature humaine déchue. Or l'homme est-il réellement libre, sa liberté n'est-elle pas une illusion de son esprit qui est dans une recherche constante d'indépendance de Dieu et de la vérité afin de s'établir maître de son destin? Or l'amour du prochain qui est l'un des thèmes majeurs de l'enseignement du christianisme contrefait, n'est-il pas plutôt de la prostitution spirituelle que l'on retrouve dans les bordels ecclésiastiques! La tolérance ne fait donc pas partie des vertus caractérisant le chrétien comme le prétendent les réprouvés.
Soulignons ce que dit Paul Wells, pseudo-chrétien et professeur à la Faculté libre de théologie réformée d'Aix-en-Provence, qui a vendu son âme à l'idole de l'intellectualisme et a plié le genou devant l'hérésie du libre-choix:
«Dieu est intolérant vis-à -vis de la méchanceté, du péché, du mal, de tout ce qui s'oppose à sa sainteté et à sa justice [...] Cependant, la foi chrétienne ne nous recommande pas d'avoir cette attitude vis-à -vis des personnes»...
«Si Dieu n'est pas tolérant, par contre, il supporte patiemment — il est vrai, temporairement — le mal résultant du mauvais choix de ses créatures moralement libres. En effet, Dieu est patient... toutefois, il est en dehors de notre temps (Psaume 90:4)! S'il semble retarder son jugement, c'est pour qu'un maximum de ses créatures puissent justement faire le bon choix:
«Le Seigneur n'est pas en retard pour accomplir sa promesse, comme certains se l'imaginent, il est seulement très patient à votre égard, car il ne veut pas qu'un seul périsse: il voudrait, au contraire, que tous parviennent à la repentance et à la conversion.» (2 Pierre 3:9; Parole vivante par Alfred Kuen)».
Qu'un Réformé dise que «nous ne devons pas avoir une attitude intolérante face à la méchanceté, au péché, au mal, et à tout ce qui s'oppose à sainteté et à la justice divine», est le comble des abominations. Non satisfait de cette infamie monstrueuse, ce chrétien imposteur et faux Réformé, déclare que les hommes sont «des créatures moralement libre» lorsqu'ils sont complètement déchus et mort spirituellement, approuvant ainsi la notion aberrante qu'ils doivent faire «un bon choix» pour être moralement juste, sombrant donc dans l'hérésie de l'arminianisme qui rejette la corruption totale de la nature humaine et s'oppose à souveraineté absolue du Dieu Tout-puissant. Si cela est du christianisme ont peut très bien s'en passé, mais il s'agit ici d'un christianisme qui n'est qu'une fraude spirituelle, une supercherie conçue pour séduire les crédules, les cancres et les zigotos, un christianisme contrefait et concurrentiel qui doit être rejeté et condamné.
On veut nous faire croire que «le chapitre 14 notamment de l'épître de Paul aux Romains abonde de préceptes de tolérance et de respect de l'autre», mais cela est faux, on veut nous bourrer le crâne avec des extrapolations théoriques, des déductions issues de spéculations qui font dire à la Bible ce qu'elle ne dit pas. L'enseignement de Paul dans ce chapitre se rapporte à la prévoyance de la souveraineté de Dieu dans la vie de ses élus, et non à une tolérance mondaine imaginaire qui glorifie l'homme dans ses choix d'agir envers les autres:
«En effet, aucun de nous ne vit pour soi-même, et aucun de nous ne meurt pour soi-même. Si nous vivons, nous vivons pour L'ADMIRABLE; et si nous mourons, nous mourons pour L'ADMIRABLE; soit donc que nous vivions, soit que nous mourions, nous sommes à L'ADMIRABLE.» (Romains 14:8-9).
On y trouve que les premiers disciples, tous des juifs sous la loi, ne doivent pas juger un frère (Romains 14:10), et non pas qu'ils doivent tolérer un frère ou le respecter. Ils doivent s'en remettre à Christ pour toutes choses dans leur vie, et non à une théorie farfelue et insensée qui va jusqu'à tordre le sens des Saintes-Écritures. L'apôtre Paul leur enseigne la foi en un Dieu Souverain et Tout-puissant qui dirige les pas de ses fidèles Par la Sainte Présence de Christ en ses élus. C'est la même chose partout dans la Bible où elle nous parle de porter un jugement contre une autre personne. Nous ne sommes pas interdit de juger, mais si nous jugeons nous devons le faire avec justice et équité, car nous serons jugés de la même manière que nous jugeons un autre. Juger est simplement évaluer une situation; une chose; ou encore le caractère, les paroles ou le comportement d'une personne; mais une telle évaluation doit toujours se faire à la lumière de la vérité en Christ qui est le Seul Juge sur toutes choses. Si nous jugeons selon une théorie charnelle comme celle de la tolérance, nous en récolteront des conséquences qui ne seront pas trop plaisantes en vue de notre rectification. Nous sommes en fait demander de juger ceux de l'intérieur, c'est-à -dire ceux qui se disent chrétiens (1 Corinthiens 6:2-3), car le jugement commence par la maison de Dieu (1 Pierre 4:17). Nous jugeons donc la doctrine de la tolérance de sédition et de corruption.
La tolérance de la contrefaçon concurrentielle qui provient du christianisme contrefait moderne et qui trouve sa place dans le monde séculier, ne doit être toléré en aucune façon par les chrétiens authentiques. Nous ne sommes pas appelés à marcher par les philosophies humaines, mais par l'Esprit de Dieu qui conduit chacun de nos pas. Si un chrétien marche réellement par la foi de Christ, son attitude et sa conduite seront dirigées par la Sainte Présence de Christ qui habite en lui. La tolérance est une doctrine humaniste, un principe antichrétien, elle est l'attitude des lâches, des traîtres, et des tièdes, la couverture des faux chrétiens, et l'idole du monde moderne pour qui il n'y a aucune vérité absolue. La Parole de Dieu dit clairement de ne pas s'asseoir au banc des moqueurs (Psaumes 1:1), pourtant des foules immenses de gens qui se disent chrétiens se moquent littéralement de la vérité et plient le genou aux principes du monde. Mais la Bible dit que celui qui veut être l'ami du monde se fait ennemi de Dieu. De grandes surprises attendent ces gens au jugement dernier.
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