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Ah! combien Satan aime la "tolérance"! Au nom de l'amour, on tolère tout: l'homosexualité, l'avortement, la débauche sous toutes ses formes, les croyances de tous comme étant crédibles, les religions antipathiques, les fausses doctrines évangéliques, les prédicateurs charlatans, les contrefaçons insupportables, les malfaisances de toutes sortes, les comportements criminels, les idéologies néfastes, les politiciens rapaces,... et aussi prétendre "que le chemin importe peu". C'est très joli tout cela, mais c'est complètement contraire à ce que Dieu dit!
Mais encore faut-il définir exactement ce mot. La tolérance est une largesse d'esprit qui met tout sur un pied d'égalité et qui donne l'impression d'une douceur agréable à tous, mais qui manque d'ardeur, de ferveur, de zèle et de conviction, et qui laisse une personne indifférente. La tolérance admet avec une certaine passivité, avec condescendance parfois, ce que l'on aurait le pouvoir d'interdire que nous avons du droit d'empêcher. Elle est caractérisée par la tiédeur, la mollesse, la neutralité, et l'indolence ou absence de passion et de sensibilité morale. Si on lui donne faussement le sens «d'être patient, ou d'aimer quelqu'un malgré ses fautes, ou encore de respect de la liberté d'autrui», comme dit le Larousse, il est clair que nous ne saurions plus sur un terrain biblique ni réellement chrétien. Dieu aime-t-il une personne malgré ses fautes?, respecte-t-il la liberté d'autrui?, nous enseigne-t-il d'agir de cette façon charnelle et mondaine? évidemment que non! Plusieurs ont tendance à prendre le mot Grec «anoche» pour décrire la tolérance, mais ce terme désigne complètement le contraire puisqu'il signifie proprement «patience ou endurance», ce qui implique par nécessité «le courage et la résignation» et ces deux caractéristiques ne vont pas avec la mollesse de la tolérance. Tolérance et patience sont deux choses complètement différentes, ce n'est qu'en nos temps modernes que ces deux termes ont été confondus ensembles pour signifier une seule et même chose, afin de plaire aux caprices d'une société spirituellement en banqueroute qui marche vers sa ruine certaine.
Le mot «tolérance» est souvent aussi utilisé par les sectes évangéliques pour signifier «supporter sans chercher à corriger celui qui est dans l'erreur» ou encore «supporter l'orgueil et l'hypocrisie de ses adeptes», ou pire encore «être négligent ou indifférent face aux péchés commis», c'est-à-dire «aimer le pécheur malgré ses péchés». On le voit de même dans la société actuelle qui tolère quantité de choses, bien que ce soient des crimes aux yeux de Dieu. Mais en réalité, on ne doit JAMAIS être tolérant vis-à-vis du péché. Être patient et endurer, oui, mais il y a une limite. Parler avec douceur et compréhension, encore oui, car parfois nécessaire mais rarement efficace. Généralement il faut brasser les cages avec des mots durs et tranchants afin d'obtenir une réaction, et même là les gens s'entêtent davantage dans leurs opinions et prétentions. Un grand nombre ont dépassé le point de non-retour et persistent dans leur endurcissement et leur défiance, il faut un choc pour les réveiller, si cela est encore possible. Contrairement à la mollesse de la tolérance, on ne peut supporter une situation fausse sans réagir, jamais, à moins d'être des lâches et des froussards méprisables comme nous retrouvons en grand nombre de nos jours! Plusieurs de ces foireux préfèrent se faire bercer dans les illusions d'une prétendue orthodoxie qui a séduit de grandes multitudes depuis de nombreuses générations, et ne bougerons pas à moins d'allumer des fagots vert sous leurs pieds, et même là il est trop tard pour la grande majorité de ces connards qui vivent dans les délires de leur conscience déréglée.
Dieu est très patient envers les hommes (Romains 3:25; 2 Pierre 3:9). Il s'est adressé à eux dès l'origine et le fait encore maintenant. Mais Dieu ne tolère jamais le mal, le péché ou les compromis. C'est très simple: la signification moderne de la tolérance ne figure tout simplement pas dans la Bible. On veut nous faire croire que «tout homme a sa liberté, son indépendance et son choix à faire: entre le Bien et le Péché, entre Dieu et Satan, entre le Ciel et l'Enfer, et qu'il n'y a pas de troisième chemin que Dieu puisse tolérer». Mais cette notion d'un prétendu libre-choix, n'est qu'une hypothèse issue d'une philosophie mondaine dans sa vaine tentative de préserver la dignité de l'homme dans son indépendance de Dieu, et de la vérité révélée dans les Saintes-Écritures. Pour une personne vraiment chrétienne et saine d'esprit, le passage de Matthieu 22:39 qui nous dit «d'aimer son prochain comme soi-même», ne peut, précisément à cause de cela, nous faire tolérer qu'il soit sur une fausse voie. Notre résignation à Christ et à sa vérité qu'il nous enseigne par sa Sainte Présence en nous, nous pousse naturellement à mettre notre prochain en face de la vérité, même si cela entraîne une rupture entre-nous. Mais encore faut-il faire attention et être prudent, car plus que souvent, un pourceau évangélique va se tourner contre nous et chercher à nous déchirer en pièces à cause des perles que nous lui avons donner, et qu'il veut écraser à tout prix dans la boue excrémentielle de sa porcherie ecclésiastique. On peut même les entendre dire de telle stupidité comme: «Au nom de la tolérance, l'intolérance ne sera pas toléré.», et c'est exactement cela qui se passe dans leurs prétendues églises où tout est toléré sauf ceux qui ne tolèrent pas leurs faussetés, ils sont pour la liberté de tous sauf au sein de leur propre assemblée, paradoxe d'hypocrisie singulière d'un faux christianisme.
Pour les rêveurs d'une utopie imaginaire d'une société multiculturelle, car selon ces tarés et zigotos, «les relations entre gens de races différentes, de sociétés et de coutumes différentes, ne doivent pas être basées sur la tolérance, car ce mot implique une supériorité de l'une des parties.». Il faut donc éviter toutes apparences de racisme pour obtenir l'unité chimérique de leurs délires psychotiques. «Ces relations doivent être basées sur l'amour: alors seulement nous pourrons nous approcher des âmes et leur parler pour leur montrer le vrai chemin.». Mais quelle boutade puérile d'une fantaisie mensongère et d'un amour spéculatif absurde qui représente les aspirations d'une nature humaine dépravée. Le racisme est l'état normal des choses depuis le début de l'histoire de la race humaine et il est très présent à travers les pages des Saintes-Écritures. Le racisme est définie par le «Centre National de Ressources Textuelles et Lexicales» comme étant:
«Ensemble de théories et de croyances qui établissent une hiérarchie entre les races, entre les ethnies. Doctrine politique fondée sur le droit pour une race (dite pure et supérieure) d'en dominer d'autres, et sur le devoir de soumettre les intérêts des individus à ceux de la race.»
Dans les têtes écervelées en manque de matière grise, le racisme équivaut à de la haine ou xénophobie, faisant ainsi Dieu coupable de ce péché grossier moderne contre cette doctrine politique qui est devenue l'idole du multiculturalisme. En fait, selon cette définition, Dieu même est raciste puisqu'il a donné la supériorité à la nation d'Israël et non à d'autres. Même que les juifs accusent plusieurs de «racisme anti-juif» lorsqu'eux-mêmes sont de purs racistes comme nous voyons dans les Saintes-Écritures où ils refusent toutes communications avec d'autres races de crainte de se souiller (Jean 4:9). Jésus même, qui était un juif, était clairement raciste dans sa proclamation de l'Évangile, puisqu'au début il refusait à ses disciples d'aller vers d'autres nations sauf Israël. N'est-ce pas pour cela que l'apôtre Paul affirme que le salut vient premièrement des juifs! Et si le salut vient premièrement des juifs, n'est-ce pas du racisme dans sa définition moderne du terme? Et que dire des élus que Dieu a choisi avant la fondation du monde pour le salut en Christ au détriment des autres qu'il a rejeté de sa grâce, cela pourrai être aussi très bien qualifié de racisme par une personne mentalement déséquilibrée, et Dieu sait que ces énergumènes sont nombreux parmi les sectes évangéliques du christianisme contrefait moderne.
On voudrait donc, pour maintenir l'illusion multiculturalisme d'une utopie imaginaire, que le salut proviennent aussi d'autres nations ou d'autres cultures comme l'enseigne le Nouvel Âge avec ses notions de tolérances diaboliques qui disent que Dieu demeure en tous et chacun, et qu'il faut apprendre à connaître le Moi intérieur, le dieu que nous sommes, pour être délivré des chaînes du matérialisme. N'est-ce pas la raison principale pourquoi nous sommes poussés à tolérer l'invasion Islamique en nos pays démoncratiques, acceptant les musulmans comme des gens bien normaux qui peuvent contribuer au bien-être de notre société, lorsque le contraire est vrai et qu'ils aspirent à notre destruction selon les directives de leur livre sacré, le Coran. Ne vous faite pas d'illusion, deux idéologies différentes ne peuvent coexister sans la destruction de l'une ou de l'autre. L'Islamisme est loin d'être une religion de paix, comme l'affirme nos politiciens hypocrites et avares des pétrodollars que cela leur donne. Ne vous laisser pas berner par ces enculeurs de l'arc-en-ciel qui ne savent plus si le mariage devrait être entre un homme et une femme, un couple de même sexe, un fermier et sa vache, ou un musulman et sa chèvre. Ne sont-ils pas tous comme des traîtres qui ont vendu Jésus pour trente pièces d'argent? Oui ils le sont, et encore plus! On ne peut s'imaginer la profondeur de la corruption qui existe aux niveaux politique et religieux, c'est à faire vomir (Apocalypse 3:16), et on vous le dit franchement il est préférable de ne pas le savoir par crainte de mourir de tristesse et de désespoir. Laissons le Seigneur notre Dieu s'occuper de cette corruption maudite, et n'oublions pas de regarder à nos propres cœurs, car de là vient toute la pourriture qui porte la race humaine aux châtiments d'une perdition éternelle.
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