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Il est clair, d'après ce que nous venons de voir, qu'ils existent deux Églises, l'Église mondaine et l'Église spirituelle, et les deux n'ont rien en commun. L'Église mondaine est une fausse église, et l'Église spirituelle est la vraie Église. Or nous devons élaborer davantage sur ce sujet qui est d'une importance capitale. Les deux ont leurs caractéristiques propres qui nous permettent de les reconnaître. Si l'apôtre Paul nous dit qu'il y a un faux évangile, un faux Jésus et un faux esprit (2 Corinthiens 11:4), conséquemment il y a aussi une fausse église. En d'autres mots, il s'agit réellement de l'existence d'un faux christianisme, et d'un vrai christianisme. Ce concept relativement simple à comprendre, n'est pas saisi par la majorité des gens qui se disent chrétiens. Pourtant la Bible, Parole de Dieu inspirée et autorité suprême sur toutes les questions de foi, l'affirme clairement. Donc, soit qu'ils ne la lisent pas du tout, ou qu'ils n'y croient simplement pas, malgré qu'ils déclarent qu'elle est la Parole de Dieu. Leurs déclarations seraient donc de la pure hypocrisie, faisant ainsi de Dieu un menteur, ou un simple produit de leurs imaginations. Il est presque inconcevable de voir des gens supposément intelligents qui se disent chrétiens, devenir les victimes de sectes et fausses églises, lorsqu'ils ont recours à la Bible pour les instruire dans la vérité. Mais comme nous l'avons dit, la croyance en Jésus-Christ n'est pas la foi réelle de Christ et en Jésus-Christ, mais une fausse foi qui se nomme de la présomption.
Les éléments oculaires qui marquent cette Église varient entre le catholicisme et le protestantisme. Non pas que l'un est meilleur que l'autre, car les deux sont corrompus irrémédiablement. En fait le protestantisme est l'enfant rebelle du catholicisme, qui a gardé plusieurs de ses caractéristiques malgré sa réforme au 16e siècle. Comprenons que le mot «catholique» signifie «universel» et s'applique tant au catholicisme romain qu'à celui du protestantisme, même les églises protestantes dites Réformées se disent catholiques. Déjà là , l'identité de la mère et de son enfant est évidente. Pour catholiques et protestants, l'Église est un bâtiment dans lequel on trouve un système d'administration avec ses ministres, ses formes liturgiques et ses coutumes. En d'autres mots, les églises sont simplement des clubs sociaux à tendances plus ou moins religieuses, où les gens pratiquent le sport du commérage et partagent les nouvelles du jour. Le prédicateur, le prêtre dans le catholicisme et le pasteur dans le protestantisme, est considéré comme irréprochable et admiré comme étant au-dessus de la moyenne des hommes, sinon vénéré comme un petit dieu, et son message est considéré comme la pure vérité. Mais on n'a pas à gratter la surface trop loin avant de s'apercevoir, qu'ils sont tous des menteurs et des hypocrites. Lorsqu'on se donne la peine d'écouter et de regarder attentivement, on voit clairement qu'ils sont loin d'être irréprochables, ils ont tous quelque chose à cacher. La Bible dit qu'ils sont des pécheurs comme tous les hommes, mais ne les accuser pas de péché, surtout celui d'hypocrisie, car vous seriez en retour accuser de salir son apparence, et manquer d'amour envers ces prétentieux. Jamais ils n'admettront publiquement qu'ils sont pécheurs. En exemple, un pasteur Baptiste, ici au Québec, a admis en privé qu'il avait mené une vie impeccable, sauf, qu'il avait déjà volé 50.00$. Il considérait cela son seul péché, mais il ne parla jamais des péchés du cœur comme l'hypocrisie, l'avarice, le mensonge, etc.. Il fut exposé par après devant son assemblée, comme étant un grand manipulateur, et un malfaisant malicieux, qui s'ingérait dans la vie des gens pour les influencer dans ses voies pernicieuses, détruisant des relations de couples et de familles. Il cachait aussi son amour pour l'argent, et la gloire personnelle. Ce n'est qu'un exemple parmi un très grand nombre d'autres incalculables.
Cette branche pernicieuse d'un christianisme contrefait a pour chef un homme qui se prend pour un dieu, et qu'on a nommé «pape», dont la signification est «père». Il est appelé le Saint Père, et porte le titre blasphématoire de Souverain Pontife (Apocalypse 13:1). Cela en plus d'être le Parrain de la Mafia et de la Cosa nostra au niveau mondial, sans compter ses agents secrets et assassins professionnels: les Jésuites. Le culte d'adoration des papistes se nomme la Messe, qu'ils affirment être «un sacrifice non-sanglant» répété tous les jours, et plusieurs fois par jour à l'année longue, et cela depuis de nombreuses générations depuis le 4e siècle. Or, la Messe est un sacrilège qui s'oppose au sacrifice sanglant de Christ sur la croix qui s'est offert une fois pour toutes. Il ne peut être répété, car il est parfait et complet. Lors de la Messe, le prêtre lève au bout de ses bras à la vue de tous les fidèles ce qui se nomme l'Ostensoir, un genre de soleil en or qui contient dans le centre une petite galette ronde en forme de soleil, et les gens baissent la tête en adoration de la galette soleil, qu'ils nomment une hostie. De là , le ou les prêtres passent la communion des hosties aux fidèles, et tous mangent leur dieu galette. Le catholicisme est de la pure idolâtrie, les papistes adorent le dieu Soleil de l'ancien culte du Mithraïsme sous couverture chrétienne. Le tout est une organisation extrêmement bien montée pour impressionner les crédules et les ignorants, afin de leur donner un sentiment de bien-être qui apaise temporairement leur conscience. C'est la raison pour laquelle le sacrilège de la Messe est constamment répété, pour garder les fidèles dans cette illusion.
Le pivot central du catholicisme est le dogme de la trinité babylonienne de trois personnes en Dieu, érigé par les théoriciens de Nicée/Constantinople sur la base du néo-platonisme, et des anciennes religions à mystères. Dans cette doctrine loufoque, nous trouvons un faux père qui était le père des dieux babylonien; le faux fils de Dieu de l'ancienne théologie babylonienne; et le faux saint-esprit sous la forme d'une colombe, qui représenta la reine du ciel de l'ancien culte d'adoration babylonien, le tout sous couverture chrétienne. À cette doctrine astucieuse et dangereuse fut ajouté plus tard celle de l'hérésie du libre-arbitre (libre-choix), qui fut infiltrée sournoisement dans le protestantisme par les Jésuites, et qui devint rapidement l'idole principal placé à côté du culte de l'intelligence, pour dominer sur toutes les branches du protestantisme, afin de renverser la théologie du calvinisme.
Dans le catholicisme, nous trouvons aussi le culte des Saints, le culte de la Vierge Marie, le culte des anges, le culte des reliques, le culte de la croix, le culte du cœur de Jésus, etc.. Assurément le catholicisme ne manque pas d'idoles.
Contrairement au catholicisme, le protestantisme est divisé en plusieurs branches ou factions, chacune ayant son petit pape et son culte d'adoration particulier:
Luthériens;
Réformés;
Presbytériens;
Anglicans;
Épiscopaliens;
Puritains;
Adventistes;
Irvingiens;
Méthodistes;
Baptistes;
Darbystes;
Mennonites;
Trembleurs;
Pentecôtistes;
Charismatiques;
Messianiques;
et toute une gamme de groupes dissidents.
De nos jours, particulièrement depuis les années 1960, ils forment ce qu'on appelle le Mouvement Évangélique moderne, ou Néo-catholicisme.
Le protestantisme est une organisation multidimensionnelle qui détient généralement des buts, des pratiques, des coutumes et des doctrines similaires, quoique variées entre les différentes dénominations. Pour la majorité, la Bible est supposée être la Parole de Dieu, la règle et l'autorité suprême de la foi, et tous affirment que Christ est le Chef invisible de leurs églises particulières. Mais aux évidences, le contraire est plutôt vrai. Le pasteur est plutôt celui qui domine sur la foi et les consciences, interprétant la Bible à sa façon pour soutenir les doctrines particulières de son église, ce qui engendre souvent des conflits entre les différentes églises protestantes.
Ces pseudo-églises ont gardées plusieurs hérésies du catholicisme, notamment la doctrine de la trinité, le libre-choix, les sacrements qu'elles ont réduits à deux, le principe d'organisation, en plus de la manipulation, l'intimidation, le commérage et l'extorsion. Puis vient s'ajouter un groupe de psychopathes qui trempe dans le mysticisme et le spiritisme, les pentecôtistes et les charismatiques avec les extravagances de leurs délires et frénésies démoniaques.
Tout ce qui est charnel et corrompu, tout ce qui est duplicité et prétention, tout ce qui est apparence et approximation est de l'Église mondaine, dite souvent aussi église locale. Les églises locales sont de vrais bordels d'apparences spirituels, où les croyants vendent leurs services aux passants, sous guise d'un salut gratuit qui finit par leur coûter très cher à plusieurs niveaux. Il s'agit de systèmes d'exploitation astucieusement élaborés par des manipulateurs professionnels, qui comme des vendeurs, savent très bien comment vendre leur salade, et cela au nom de Jésus-Christ qu'ils traînent dans boue excrémentielle de leurs porcheries religieuses.
Tant qu'aux caractéristiques de cette prétendue Église, nous trouvons:
la domination de la foi et des consciences;
la manipulation;
l'intimidation;
la prétention;
la supposition;
la diffamation;
l'exploitation;
l'agitation;
l'oppression;
le déniement;
le mensonge;
l'hypocrisie;
la superstition;
l'exagération;
la trahison;
les allégations;
des contradictions et des torsions de toutes sortes.
Elle est remarquable par ses fausses doctrines:
l'hérésie du libre-choix;
l'hérésie de la trinité de trois personnes en Dieu;
l'hérésie de ses baptêmes ritualistiques;
l'hérésie d'une prétendue Sainte-Cène;
et les règles de discipline.
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