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La doctrine de la trinité
Divinité de Jésus-Christ.
32 | Dans tous les textes qui sont comparés ensemble dans cet ouvrage, les mots qui sont objets de comparaison sont imprimés en italique, afin que l'argument qui en résulte puisse être à première vue saisi par le lecteur, et j'espère que les observations contenues dans le précédent discours suffiront pour lui en donner une pleine intelligence, et me dispenseront de tons détails ultérieurs. Les arguments quo j'ai tirés de l'Écriture-Sainte sont, je le crois; neufs pour la plupart, et ont été présentés de la manière la plus propre à convaincre et à dissiper tous les doutes, s'il m'est permis d'en juger par mes propres impressions. Du moins tel a été mon désir en écrivant cet ouvrage, sur lequel j'implore la bénédiction divine, ainsi que sur tous ceux qui le liront, sachant bien que si le Seigneur ne garde la ville, la sentinelle ne veille qu'en vain. Note de l'auteur. |
33 | Voyez Essai sur l'Esprit, p. 65; Doctrine sur la Trinité, du docteur Clarke, chapitre I, § 3, p. 404. |
34 | Il y a dans l'hébreu, et outre moi aucun Dieu. אֵין אֱלהִים׃ וּםִבַלְעָדַי |
35 | L'argument quo fournit ce teste est également concluant de quelque manière qu'on le considère. Jésus-Christ est un Sauveur, donc il est l'Éternel; ou Jésus-Christ est l'Éternel, donc il est un Sauveur. Les meilleures observations que j'ai trouvées sur l'application du nom de l'Éternel au Seigneur Jésus-Christ, sont contenues dans la défense de la doctrine de la Trinité, par le savant docteur Randolph, en réponse à une brochure intitulée: Essai sur l'Esprit. Note de l'auteur. |
36 | Marc 1:2. |
37 | Luc 7:27. |
38 | Les textes suivants attribuent aussi à Christ une éminence de perfection qui prouve qu'il est un avec Dieu le Père (Psaumes 23:1). «L'Éternel (en hébreu Jéhovah) est mon berger.» Jean 10:16 «Et il y aura un seul troupeau et un seul berger.» Si Christ n'est pas le Seigneur, un avec le Père, il s'en suivra qu'il y a deux êtres distincts auxquels l'Écriture à attribué ce caractère de berger, de sorte qu'il y aurait deux bergers. Mais Christ a affirmé qu'il n'y avait qu'un seul berger, qui est lui-même, le berger des brebis (verset 2), que saint Pierre appelle le souverain Pasteur (1 Pierre 5:4). Et encore il est écrit au Psaumes 100:3: «Connaissez que l'Éternel est Dieu. Nous sommes son peuple et le troupeau de sa pâture.» Jean 10:3 «Il (Christ lui-même) appelle ses propres brebis par leur nom.» Et encore Jean 21:16 Jésus-Christ dit à saint Pierre: «Pais mes brebis»; ce qui est dans le langage de saint Pierre lui-même (1 Pierre 5:2): «Paissez le troupeau de Dieu.» Note de l'auteur. |
39 | Ce verset est traduit de la même manière non seulement dans les deux versions françaises de Martin et d'Ostervald, mais encore dans celle de Genève, de 1805. Note des éditeurs. |
40 | Voici le texte dans son entier: προςδεχομενοι την μακαριαν ελπιδα και επιφανειαν της δοξης του μεγαλου Θεου και σωτηρος ημων ιησου χριστου. Le sens le plus naturel et celui exigé par le proprietas lingua, est celui attribué à ce passage par presque tous les anciens, depuis Clément d'Alexandrie, et par les premiers commentateurs modernes, tels que Brume Grotius et Théodore de Bèze, et par quelques-uns des plus célèbres commentateurs et théologiens de ces derniers temps, tels que les évêques Pearson et Bull, et par Wolf. Matthias et l'évêque Middleton, ce sens est attendant ou plutôt regardant en avant vers la bienheureuse espérance et l'apparition glorieuse de notre grand Dieu et Sauveur Jésus-Christ. Cette traduction est établie sur les fondements les plus solides par l'évêque Middleton et le professeur Scholefield. Mais un argument plus concluant encore que celui tiré de la construction grammaticale, est celui présenté par Théodore de Bèze, qui montre que le mot επιφανεια apparition, n'est nulle part employé en parlant de Dieu le Père, mais toujours de Christ, ce qui est un argument inattaquable. Le rédacteur du Critique Britannique soutient avec raison que Christ doit être le Dieu dont il est ici parlé, parce que c'est son apparition glorieuse que toue les Chrétiens sont exhortés à attendre. Mais à l'égard de Dieu le Père, il nous est dit que nul homme ne l'a vu, ni ne peut le voir. Voyez aussi Routh, Reliquiœ sacrœ, et Clément d'Alexandrie, Cohortatio ad Gentes. Les théologiens qui ont hésité à admettre cette interprétation, ont été arrêtés, je le soupçonne, plus qu'ils ne s'en doutaient eux-mêmes, par nu arguaient gai paraît spécieux, savoir: que nulle antre part dans l'Écriture, Jésus-Christ n'est appelé le grand Dieu; mais le μεγαλου appartenant à la fois à Θεου et à σωτηρος, cela change le cas, et fait disparaître complètement l'objection. Le sens est donc évidemment la glorieuse apparition de ce grand Être, qui est notre Dieu et Sauveur. Note extraite de Bloomfiald (in loco). |
41 | Doctrine de Clarke sur la Trinité. § I, p. 541. |
42 | Clarke, S. D. P. II, § 33. |
43 | Lib. V, § 23. - De vrincipiis. |
44 | Lib. IV, Chapitre 2. |
45 | L'hérésie arienne a pour auteur Arius, prêtre d'Alexandrie. Il soutenait que le Fils était totalement et essentiellement distinct du Père; qu'il était le premier et le plus éminent de tous les êtres que Dieu avait créés en les tirant du néant; quo comme instrument subordonné au Père, il avait été employé à la création de l'univers, et qu'il était, par conséquent, inférieur au Père en nature et en dignité. Les opinions d'Arius à l'égard du Saint-Esprit ne sont pas aussi bien connues. Il paraît cependant certain que ses vues sur la personne du Fils de Dieu étaient accompagnées et liées à d'autres doctrines bien différentes de celles communément reçues parmi les Chrétiens, quoiqu'aucun des anciens écrivains ne nous ait donné un système complet et cohérent des croyances religieuses qui étaient professées par Arius et par ses sectateurs. Histoire ecclésiastique de Moshéim. Ce sont ces opinions que le docteur Samuel Clarke a tâché de ressusciter, en Angleterre, dans le dernier siècle. Il a exposé ses croyances dans un livre intitulé: Doctrine de nos saints livres sur la Trinité. Il croyait que le Fils et le Saint-Esprit étaient les premières et les plus éminentes des créatures de Dieu, et ainsi il établissait trois Dieux, yin suprême et deux inférieurs. On trouvera quelqu'es détails sur ce système dans la Force de la Vérité, par Thomas Scott. Note des éditeurs. |
46 | Suite à l'Essai sur l'Esprit, p. 8. |
47 | Lettre à un jeune pasteur sur les difficultés et les découragements qui accompagnent l'étude de la Bible entreprise par la voie du libre examen. |
48 | Actes 17:31. |
49 | Jésus n'accordera le privilège d'être assis à sa droite et à sa gauche dans son royaume qu'à ceux à qui cette gloire a été réservée dans les conseils éternels du Père, De sorte que ce texte, loin d'ôter à Jésus le droit de l'accorder, déclare, an contraire, entant qu'une proposition négative peut le faire, qu'il sera le dispensateur de cette grâce, comme de toutes les antres. Ce texte renferme une allusion évidente à la doctrine de l'élection de grâce, et ne peut être parfaitement compris que par ceux qui admettent cette doctrine. Note des éditeurs. |
50 | Voici le verset entier: «Nous n'avons pourtant qu'un seul Dieu, qui est le Père, duquel sont toutes choses, et nous en lui; et un seul Seigneur Jésus-Christ, par lequel sont toutes choses, et nous par lui.» M. Holden fait observer que la perversion socinienne de ce passage fondée sur la distinction établie par l'apôtre entre le Père et le Fils, est inadmissible, puisque ce texte ne refuse pas plus à Jésus-Christ le titre de Dieu des Chrétiens, en appelant le Père le seul Dieu, qu'il ne refuse au Père le titre de Seigneur, en appelant Christ le seul Seigneur. Au contraire, il donne à entendre par cette expression que le Père et le Fils sont un seul Dieu et un seul Seigneur dans l'unité de la nature divine. Note de Bloomfield (in loco). |
51 | Apocalypse 21:1. |
52 | Ésaïe 9:6. |
53 | Luc 20:36. |
54 | Jean 11:25. |
55 | Voici le verset 28 dans son entier: «Vous avez entendu que je vous ai dit: Je m'en vais, et je reviens à vous; si vous m'aimiez-vous seriez certes joyeux de ce que j'ai dit Je m'en vais au Père, car le Père est plus grand que moi.» Les disciples étaient affligés par l'idée du prochain départ du Sauveur. Il les console par la considération que s'ils l'aiment, ils doivent se réjouir de penser qu'il s'en va, parce qu'il va au Père, qui est plus grand que lui. Il est donc évident que le Père est plus grand que lui, dans le même sens qu'il quitte ses disciples pour aller au Père. Or, il ne les quitte pas à l'égard de sa nature divine, puisqu'il dit (Matthieu 18:90): «Là ou deux ou trois sont assemblés en mon nom, là je suis au milieu d'eux;» et (Matthieu 28:90) voici: «Je suis toujours avec vous jusqu'à la fin du monde. À l'égard de sa présence divine, il était à la fois et sur la terre et dans le ciel, puisqu'il déclare» (Jean 3:13): «Nul n'est monté au ciel que celui qui est descendu du ciel, savoir: Le Fils de l'Homme, qui est au ciel.» Et même au chapitre 14:10: «Philippe, celui qui m'a vu, a vu mon Père; — ne crois-tu pas que je suis dans le Père, et que le Père est en moi? Les paroles que je vous dis, je ne les dis pas de moi-même; mais le Père qui demeure en moi est celui qui fait les œuvres.» Il y avait donc en Jésus une nature à l'égard de laquelle il était dans le Père; une autre à l'égard de laquelle il devait aller au Père. Mais ce texte, le Père est plus grand que moi, qui n'est pas en harmonie avec ce que l'Écriture nous dit de la divinité du Sauveur, s'accorde parfaitement avec ce qu'elle nous dit de son humanité. Ce passage est une allusion manifeste à son ascension, et cette ascension fut corporelle (Actes 1:9). Il allait pour recevoir le prix de ses souffrances, pour être couronné de gloire et d'honneur (Hébreux 2:9). Si ses disciples l'eussent véritablement aimé, ils auraient éprouvé de la joie de voir terminer l'époque de ses humiliations et de ses souffrances, et commencer celle de son triomphe et de sa gloire. Il ne faut pas s'étonner de voir le Seigneur s'attribuer ce qui ne convient qu'à une de ses natures; il n'a fait que se conformer en cela an langage ordinaire des hommes. Nous disons tous les jours, je parle, je vois, je réfléchis, je pense, quoique quelques-unes de ces actions se rapportent exclusivement an corps et les antres à l'âme; et comme elles n'offrent aucune difficulté à celui qui sait que nous sommes composés d'un corps et d'une âme. Ainsi, des locutions analogues n'en offrent aucune pour ceux qui savent que le Seigneur Jésus-Christ était vrai Dieu, aussi bien que vrai homme; et ils appliquent les expressions du Seigneur à celle de ses natures à laquelle elles conviennent. Note des éditeurs. |
56 | Symbole d'Athanase. |
57 | La divinité éternelle de Christ étant, comme nous venons de le voir dans les pages précédentes, appuyée sur les pins incontestables témoignages de l'ancien et du nouveau fondement, elle est placée sur un rocher inébranlable contre lequel toutes les vagues des sophismes et des objections des incrédules viendront se briser, puisque une fois ce point établi que Jésus-Christ est Dieu, il deviendra évident que les déclarations de l'Écriture, qui annoncent des choses incompatibles avec sa nature divine, ne sont applicables à Jésus-Christ qu'en tant qu'homme; adopter un autre système, c'est imputer à la Bible ce qu'on n'oserait attribuer à aucun livre des philosophes du siècle, de se contredire elle-même, et de saper d'une main l'édifice qu'elle aurait élevé de l'autre. Mais Dieu n'a pas voulu que nous en fussions réduits à des déductions plus ou moins claires. Il a voulu nous donner toujours un enseignement positif, pour fermer la bouche aux incrédules, et affermir la foi de ses enfants. Et il en est ainsi à l'égard de ce passage; car cette même Bible, qui nous déclare que Jésus ignore le jour du jugement, nous dit ailleurs que c'est lui qui sonde les cœurs et les reins (Apocalypse 2:23), qu'il sait toutes choses (Jean 21:12), et qu'aux yeux de celui devant qui nous devons rendre compte, toutes choses sont nues et entièrement découvertes (Hébreux 4:13); et dans ces mots, toutes choses, le jour du jugement doit être nécessairement compris; mais l'Écriture va plus loin, elle nous montre que dans ce passage il faut entendre Dieu par le Père, et que le jour du jugement est connu de la nature divine tout entière. En effet, au milieu de aréopage, devant une multitude d'Athéniens et d'étrangers assemblés pour l'entendre, devant des philosophes de toutes les écoles, dont quelques-uns l'avaient accusé d'annoncer des divinités étrangères, parce qu'il annonçait Jésus et la résurrection, le grand apôtre des Gentils déclare que Dieu a arrêté un jour auquel il doit juger le monde par l'homme qu'il a choisi pour cela, savoir: Jésus-Christ (58) (Actes 17:31). C'est donc Dieu qui a fixé ce jour redoutable du jugement à venir; et il deviendra évident que dans le mot Dieu, l'apôtre comprend la nature divine du Sauveur, pour celui qui considérera les choses que l'apôtre attribue dans son discours au Dieu qu'il annonce:
Mais il y a plus, car l'apôtre, en parlant de Dieu, se sert d'un terme plus large, plus étendu; d'un terme qui embrasse l'essence divine tout entière. Nous ne devons pas estimer, dit-il à l'aréopage assemblé, que la Divinité soit semblable à l'argent ou à l'or, ou à de la pierre taillée par l'art et l'industrie des hommes.» Il distingue, il sépare le vrai Dieu des idoles, mais en se servant du mot divinité, qui signifie la nature divine. Que l'incrédule, s'il l'ose, refuse une participation dans la Divinité que les Chrétiens adorent, à celui en qui toute la plénitude de cette divinité a habitée corporellement, comme dans la schéchinah du temple de Jérusalem, où elle manifestait sa gloire. Et ainsi nous concluons avec assurance, parce que nous concluons avec la parole révélée que Dieu était en Christ réconciliant le monde avec soi-même, et que tout en Dieu le Père, la Parole, et l'Esprit qui sonde toutes choses, même les profondeurs de Dieu (59), ont connu, puisqu'ils l'ont arrêté ce jour, ce jour solennel, oh Dieu jugera le monde en justice par l'homme qu'il a établi pour cela, savoir: Jésus-Christ. Mais si ce texte vient de nous parler d'une nature de Jésus oh il a connu le jour du jugement, il nous parle aussi d'une autre nature où il ne l'a point connu, sa nature humaine. Les Ariens, dans leurs spéculations hardies, ne s'aperçoivent pas qu'eu supposant le corps de Jésus uni à un esprit créé, quelqu'éminent qu'ils le supposent, ils se trouvent en contradiction avec toute la Parole, aussi bien avec les textes qui nous annoncent que Jésus est homme, qu'avec ceux qui nous proclament qu'il est le vrai Dieu; car, dans leur système, il n'est ni l'un, ni l'autre, ni homme, ni Dieu; et la position qu'ils ont prise est si insoutenable que, pour en sortir à tout prix, les Sociniens, méconnaissant ces textes nombreux qui témoignent de la préexistence de Jésus, foulant aux pieds ces déclarations nombreuses, positives, qui attestent qu'il est le puissant Créateur de tout ce qui subsiste, ont voulu au moins respecter une classe de textes, ceux relatifs à son humanité, que les Ariens avaient dû méconnaître, leur système ne pouvant subsister un moment devant l'humanité, comme elle ne peut subsister devant la divinité de Jésus-Christ. Pour nous, nous voyons en Jésus-Christ un vrai homme semblable à nous, à ses frères, en toutes choses, excepté le péché. Jésus a éprouvé la fatigue. (Jean 4:6) L'angoisse morale. «Jésus pleura.» (Jean 11:35) La douleur extrême et dans le corps et dans l'âme. «Mon âme est de toutes parts saisie de tristesse, dit-il, jusques à la mort.» (Matthieu 26:38) Il a dû croître en sagesse comme en stature; car la toute science n'est pas le partage de l'humanité. Et le Seigneur s'est abaissé jusqu'à nous dans les profondeurs de cette insondable charité que l'homme ne peut concevoir, qui engloutit, qui absorbe toutes ses facultés. C'est le débordement d'une charité infinie, qui dépasse toutes les conceptions de la créature qu'elle a voulu sauver. Une preuve nous reste encore; elle nous est fournie par Jésus dans la gloire. En effet, voici ce que nous dit saint Jean dans le 5e chapitre de l'Apocalypse:
Et toutes les créatures et toutes les intelligences célestes élevèrent leur voix, et cette voix disait: À celui qui est assis sur le trône et à l'Agneau, soit louange, honneur et gloire aux siècles des siècles! Et les quatre animaux disaient: Amen. Et les vingt-quatre vieillards se prosternèrent et adorèrent celui qui vit aux siècles des siècles! Note des éditeurs. |
58 | Voyez aussi Zacharie 14:5,7. |
59 | 1 Corinthiens 2:10. |
60 | Jean 21:17. |
61 | 1 Pierre 3:18. |
62 | 1 Timothée 3:16. |
63 | Jean 17:5. |
64 | Philippiens 3:21. |
65 | Romains 8:29. |
66 | Il y a dans le grec: «Afin qu'il (Jésus-Christ) la présentât â soi-même comme une Église glorieuse» ινα παραστηση αυτην εαυτω ενδοξον την εκκλησιαν. Note des éditeurs. |
67 | Genèse 15:1. |
68 | Je dis de tout le monde chrétien, quoiqu'un auteur moderne appelle ce concile œcuménique, assemblé pour la condamnation d'Arius, une lutte fameuse, comme si une moitié du monde eût été divisée contre l'autre; et il dit que la question fut déterminée par une majorité de près de vingt personnes contre une, tandis qu'en réalité il n'y en eut que cinq, sur 318, qui renièrent la foi orthodoxe. Je mentionne ceci pour montrer de quelle manière certaines choses peuvent être représentées par certaines personnes, qui, si elles ne sont pas ignorantes, sont du moins peu scrupuleuses quant à la manière dont elles racontent les faits. Que penserait-on d'un homme qui, ayant assisté à une affaire criminelle devant la cour d'assises, dirait à sa famille qu'il avait été présent à une lutte fameuse, où il y avait une majorité de près de dix jurés, six témoins et un juge contre l'accusé. Voyez la Déd. à un Essai sur l'Esprit. Note de l'auteur. |
69 | Essai sur l'Esprit, page 151. |
70 | Actes 20:28. |
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