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Alors, quelques temps après, pendant que Luc s'occupait de la femme d'Alexandre le forgeron, Jean se rendit sur la place du marché publique, proclamant et enseignant le message de la grâce en Jésus-Christ. Une foule s'assembla autour de lui pour entendre ses paroles. Jamais ils n'avaient entendu quelqu'un parler avec une telle autorité. Ses paroles étaient comme des fleuves d'eaux vivent, pleines de grâce et de vérité, traçant des sillons dans les consciences et pénétrant dans les cœurs enténébrés.
Jean s'approcha d'un marchand de fruits, et après quelques mots avec lui, monta dans le chariot du marchand pour s'adresser à la foule. Prenant un fruit dans ses mains, il leur dit:
«La vérité est le fruit de l'arbre planté dans la terre fertile de la grâce en l'assurance inébranlable du sacrifice de Jésus-Christ sur la croix, que les Juifs ont fait mourir par la main des romains. Mais trois jours après il ressuscita d'entre les morts et nous en sommes témoins, ayant partagé le pain avec Lui lorsqu'il nous est apparu avec les marques de la croix en son corps. Ce que nous avons vu de nos yeux et touché de nos mains, nous vous l'annonçons. En lui vous recevez le pardon de vos péchés et la vie éternelle dans le royaume de sa gloire. Il est le Souverain Suprême sur toutes choses qui ont été créées par lui. Les dieux de vos mystères ne peuvent que vous égarer dans des voies périlleuses pour la perte de vos âmes. Nous vous prions, soyez réconciliés avec l'Esprit des vivants qui a versé son sang sur la croix dans sa forme corporelle, étant né d'une vierge au temps désigné.»
Alors il donna le fruit à un jeune garçon qui le reçut avec joie en toute humilité et reconnaissance, leur disant:
«Si vous ne recevez pas la vérité comme cet enfant, vous demeurerez dans les ténèbres de vos péchés.»
La femme d'un marchand de soi s'écria:
«Donne-nous à manger de ce fruit.»
Et la mère de l'enfant se tenait près de Jean, lui dit:
«Maître, permet nous de nous désaltérer de l'eau vive de tes paroles.»
Il leur parla donc des merveilles du trésor de la lumière de l'Esprit des vivants, le Souverain Suprême de l'existence. Ses paroles surgissaient de la conscience de la Sainte Présence de Christ en lui pour la gloire de son nom, dans tous les temps et dans toutes les générations, pour servir de témoignage à la vérité, et c'est lui-même qui écrivit qui vous parle dans les paroles que vous lisez à cet instant.
Depuis toute l'éternité fut l'amour; il était avant le commencement, et resplendissait d'une lumière pure et sans tache. Et cette lumière vivante jaillit à l'infini par un mouvement perpétuel d'extase en épanouissement. Et ce mouvement est la vie manifestée par le Souffle de la Parole dans le cœur de la source des lumières, en laquelle il n'y a aucune variation ni ombre de changement.
Il fit scintiller sa lumière dans mille myriades de rayons glorieux. Et chaque rayon était un messager de la lumière qui poussait un cri de joie, et qui chantait avec allégresse des louanges à l'Esprit des vivants dans le Saint des saints du Sanctuaire céleste de l'existence divine.
Et la Parole exprima par la lumière que tout fut; et tout était, et tout avait le mouvement et l'être dans la lumière, pour la lumière, et par la lumière de la Parole de l'Esprit des vivants. Car l'unité de la lumière dans sa diversité d'expressions, produisit la matière, et la matière fut ainsi ordonné, équilibré, et mit en mouvement; formant les nébuleuses d'étoiles innombrables dont notre monde en est le centre et le soutient de ses pieds.
Alors, un paysan de la région, disciple du dieu Apollon, intimidé par les Juifs, s'approcha de Jean, lui versant d'une petite cruche une coupe d'eau fraîche qui contenait un poison mortel. Jean, ne soupçonnant rien lui était reconnaissant, car il avait très chaud, prit la coupe et la bue en continuant d'enseigner la foule. Le paysan et les Juifs étaient perplexes devant ce qui se produisit. Ils s'attendaient que Jean tombe mort, mais rien n'arrivait. Alors dans la crainte et la confusion, le paysan dit aux Juifs:
«J'ai dû me tromper et mettre le poison dans une autre petite cruche, car il y en avait plusieurs l'une à côté de l'autre.»
Puis il se versa une coupe d'eau de la même petite cruche qu'il versa à Jean et mourra dans d'affreuses convulsions en leur présence. Les assassins s'enfuirent donc de l'endroit avant que leur crime soit découvert.
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