En principe, ce panneau vous présentera des choix de moteur de recherche GoDieu.com.




Nombre | Description |
---|---|
13623 | Membres |
1674 | Messages |
29 | Commentaires |
0 | Lectures |
4154924 | Lectures globales |
0 | Clics |
0 | Réf. externes |
0 | Réf. internes |
0 | Abonnés RSS |
Publicité point liée à GoDieu.com
Aucun sujet n'a plus stimulé l'imagination des gens en nos temps modernes, que celui-ci. Il est inimaginable de voir toutes les interprétations absurdes, qui ont été avancées par les sectes dites évangéliques. Inutile d'entrer dans tous les détails de ces insanités.
Il est clair, que le livre de l'Apocalypse a été écrit dans un style imagé ou symbolique, cela est indéniable. Le problème se trouve au niveau de l'interprétation des symboles. Premièrement, presque tout dans ce livre se rapporte au temps de Jésus et des apôtres, c'est le point de départ officiel, pour obtenir une bonne interprétation de son contenu, sous la direction de la Sainte Présence de Christ, qui nous habite. De là , il progresse à nous expliquer le développement graduel de l'histoire de l'ère chrétien, jusqu'à l'apparition finale de Christ en ce monde. Le système d'interprétation, qui correspond à ce que nous venons de dire, se nomme le Parallélisme Progressif Historique. Il divise l'Apocalypse en sept sections superposées, l'une à l'autre, pour former une seule image de son tout. Chaque section débute au premier siècle, et progresse dans des explications d'évènements historiques, jusqu'au commencement de la prochaine section, qui recommence tout pour donner différents détails. Par exemple, le chapitre 12 est le début de la quatrième section, et se rapporte à la nation d'Israël, qui donna naissance au Messie, à la tentative du roi Hérode de tuer l'enfant né, et au massacre des innocents, des conflits de Jésus et ses disciples avec les pharisiens, et de la victoire de Christ par son sang versé sur la croix. De là , on progresse au chapitre 13, et on se retrouve au quatrième siècle avec l'Empereur Constantin, le Concile de Nicée et les crédos œcuméniques, et la formation de l'église catholique romaine, puis à la papauté qui prit la relève des empereurs. Vers la moitié de ce même chapitre, on se retrouve dans une progression historique d'un renouveau de malice, qui touche notre époque. On y trouve la marque de la bête, son image, et le numéro 666.
Sans entrer dans tous les détails de tous nos études sur l'Apocalypse, ce qui nous prendrait plusieurs volumes, nous avons remarqué, qu'il y a trois dimensions ou niveaux d'interprétations, qui se complètent l'un dans l'autre, demeurant en accord avec l'un et l'autre: «l'interprétation littérale, l'interprétation figurative, et l'interprétation spirituelle.» Lorsque nous parlons d'interprétation littérale, nous ne parlons pas d'interprétation archi-littéraliste, autrement il faudrait dire, qu'il existe littéralement des dragons à sept têtes qui volent dans le ciel, ce qui serait complètement absurde. Par interprétation littérale, nous signifions qu'il faut partir du sens littéral d'un mot pour trouver sa signification étymologique, et connaître ses différentes applications dans un contexte historique, auquel il se rapporte. Par interprétation figurative, nous signifions les différents rapports d'un mot avec les significations réelles qu'il détient, ce qu'on nomme aussi, des synonymes. Par interprétation spirituelle, nous signifions les aspects d'un enseignement spirituel, qui s'applique dans le contexte d'un mot.
Ainsi la marque de la bête représente, dans un contexte historique littéral, l'étoile de David, ou sceau de Salomon de la nation moderne d'Israël, qui contient le numéro 666 dans sa composition occulte. Figurativement, cette marque représente le coronavirus, et le vaccin proposé par nos gouvernements démon-cratique. Spirituellement, cette même marque représente l'hérésie du libre-choix, par laquelle les hommes cherchent à marchander avec Dieu. En plus, il est dit que le numéro de la bête correspond à un nom d'homme. Or, dans la Bible une seule nation portait le nom d'un homme, c'est-à -dire, sa renommée, à savoir, Israël, nom qui fut donné au patriarche Jacob, pour avoir persévéré dans une lutte avec Dieu. Figurativement, cela s'applique à tout le faux christianisme sur la terre, qui cherche à persévérer dans sa justification, par les œuvres d'un libre-choix illusoire, pour plaire à Dieu, c'est-à -dire, aux yeux de leurs imaginations. Spirituellement, cela se rapporte à l'idolâtrie de l'homme envers lui-même.
Tout ce qui se rapporte à la maque et à l'image de la bête, est le contrôle des pensées et des agissements des hommes, pour dominer mondialement sur la race humaine. Mais ce complot machiavélique ne réussira point.
Pour plus d'information sur ces sujets, voir:
La bête de la mer universelle
Publicité point liée à GoDieu.com